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Ricova, les faits

Ricova n’a jamais floué la ville de Montréal

La réalité est que Ricova International, créée en 2001, est une entreprise totalement distincte des centres de tri.

Depuis 20 ans, Ricova International achète la matière de nombreux centres de tri du Québec, dont les centres de Lachine et de Saint-Michel, et trouve ensuite des acheteurs à qui elle vend les matières, toutes sources confondues, créant ainsi de la valeur dans l’économie circulaire mondiale.

Les deux centres montréalais, comme les autres centres de tri, ont toujours bénéficié de conditions similaires à celles du marché et, depuis 2020, de prix généralement supérieurs à la moyenne, comme le prouve clairement les conclusions d’une expertise menée par un cabinet indépendant.

En tout temps, Ricova a fait bénéficier la Ville des meilleurs prix du marché. D’ailleurs, Montréal n’a jamais fait autant d’argent, grâce au recyclage, que ces 14 derniers mois où Ricova lui a reversé 5,8 millions de dollars.

De plus, le contrat d’exploitation des centres de tri de Lachine et Saint-Michel a permis à la Ville et ses citoyens d’économiser plusieurs millions de dollars comparativement aux contractants précédents.

Il est aussi important de rappeler que Ricova était la seule entreprise disposée et capable de reprendre le chaos laissé par le contractant précédent.

Les accusations du rapport du BIG démontrent la mécompréhension du fonctionnement de la chaîne de valeur du recyclage. Les centres de tri ne sont pas équipés pour mettre en place un réseau international de valorisation des matières triées qui nécessite des infrastructures et documentations complexes.

Ricova International a toujours été un partenaire constant et fiable, mais surtout, elle a toujours offert les meilleurs prix aux centres de tri, comparativement aux deux seules autres entreprises québécoises qui offrent les mêmes services.

Dans la mesure où Ricova RSC et Ricova Lachine ont respecté les contrats à la lettre, la Ville n’a pas à questionner les profits que fait Ricova International, une entité tout à fait distincte des centres de tri

Ricova n’est pas un fournisseur problématique

La direction et les équipes de Ricova souhaitent, autant que quiconque, que les matières recyclables triées par les centres de tri montréalais soient de qualité suffisante pour être vendues ici, au Québec, ou en Amérique du Nord quand le marché existe.

Ricova a investi plus de 3 M$ en nouveaux équipements dans les centres de tri de Montréal, dont cinq nouveaux trieurs optiques, ce qui a entraîné un effet immédiat sur la qualité des matières triées et la réduction dans la contamination des ballots. Grâce aux améliorations apportées, le taux de contamination du papier mixte est maintenant proche de 12 %, ce qui est moins élevé que la moyenne de tous les centres de tri du Québec comme le démontre l’étude de caractérisation de RecyQuébec

Rappelons que Ricova a assuré la poursuite des activités sans interruption lors de la reprise des opérations de Rebuts Solides Canadiens suite à leur faillite. Ricova a ainsi permis à la Ville d’éviter un bris de services pour les citoyens, et ce, malgré des équipements laissés après le départ de l’opérateur précédent qui n’étaient pas adaptés à la complexité et au volume de tri d’une métropole comme Montréal. Sans compter le peu d’investissements qui avait été fait depuis 25 ans pour maintenir le centre à la fine pointe de la technologie.

Ricova s’emploi tous les jours à chercher des solutions pour améliorer la qualité des matières recyclées. L’entreprise soutient d’ailleurs fermement le projet de réforme initié par le ministre Benoît Charette, pour l’élargissement de la consigne et la modernisation de la collecte sélective.

De même, Ricova salue l’initiative de l’administration de Valérie Plante qui vise à interdire la distribution de sacs plastiques et d’objets de plastique à usage unique. Ce sont ces sacs plastiques qui causent la majorité des problèmes dans les opérations de triage

Ricova n’est pas une entreprise du crime organisé

Un article du quotidien La Presse a tenté de tisser des liens entre Ricova et le crime organisé. Ceci est totalement faux. Jamais Ricova n’a fait affaires avec des criminels et jamais elle ne le fera.

Ricova est une entreprise familiale, pionnière dans la valorisation des matières recyclables depuis plus de vingt ans. En aucun cas elle n’agit à l’encontre des lois, ni ne supporte des organisations ou des individus criminalisés.

Le reportage de La Presse soulève certaines questions quant à deux entrepreneurs-exploitants, mandatés par Ricova pour la collecte et le transport des matières, qui auraient des liens avec un groupe de motards sympathisants des Hells Angels.

Ricova rappelle qu’elle fait toutes les vérifications permises par les lois actuelles, lorsqu’elle signe un contrat avec des entrepreneurs-exploitants. Quant aux allégations de l’article, Ricova fait actuellement enquête et confirme qu’elle n’entend aucunement avoir des liens d’affaires avec des personnes ou entreprises liées au crime organisé.

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